je suis perdue dans ma vie professionnelle
Mavie n'a pas de sens, je suis perdu, que puis-je faire ? Donner du sens à sa vie, c’est reprendre le contrôle sur tout ce qui t’échappe. Si ta vie n’a pas de sens, c’est essentiellement parce que tu t’es laissé porté par les autres : tes profs, tes parents, tes
Bonjourà tous et à toutes, J'ai actuellement 19 ans et je ne sais plus quoi faire de ma vie professionnelle.. Titulaire
Bienvenue Bonjour à vous et bienvenue sur mon site, Je suis Audrey BOLEAT, Coach de Vie à distance spécialisée en changement de vie qu'ils soient personnels ou professionnels. Depuis maintenant plus de 4 ans j'accompagne, pas à pas mes patients vers un épanouissement personnel et professionnel. Le point commun de ces personnes est qu'ils
Sila maladie est prévue dans le tableau la décision sera rapide. Si elle n’est pas prévue celle-ci fera l’objet d’une étude mais que si cette maladie entraîne une incapacité d’au moins 25 pour cent. La CPAM fait une enquête auprès du CRRMP. C’est le CRRMP qui rend son avis positif ou non. La CPAM a trois mois pour statuer sur le caractère de la maladie est
RetourOffre de service Vie professionnelle VIE PROFESSIONNELLE Caisse d'Allocations Familiales Je perds mon emploi . Découvrez les aides pour vous accompagner, en fonction de votre situation. Je suis allocataire. Découvrir les aides : Aides financières Revenu de solidarité active (Rsa) Pour une personne sans activité, pour assurer un minimum de revenu. À noter que
Les Meilleurs Sites De Rencontres 100 Gratuit. Vous vous demandez ce que vous pouvez faire de votre vie professionnelle? Vous voulez changer de métier pour vous reconvertir? C’est une question fondamentale que l’on peut se poser à différents stades de sa carrière. Au collège, puis au lycée, l’étudiant se demande vers quelle voie s’orienter. La question métaphysique qui revient sans cesse est je ne sais pas quoi faire comme métier. Plus tard, durant les études, il peut être amené à revoir son orientation en fonction de ses réussites et de ses échecs. Puis vient le temps du travail et là, les changements et les imprévus vont entrainer une remise en question qui pourra vous laisser parfois penser je ne sais pas quoi faire de ma vie professionnelle! Dans cet article, vous allez découvrir le processus à suivre pour converger vers une réponse à vos interrogations. C’est fondamental dans le cadre de la recherche d’emploi. Se poser les bonnes questions Chaque personne est unique. Vous ne devez pas chercher à reproduire le modèle de réussite de vos parents ou de vos amis. Vous risqueriez de vivre dans la frustration avec le sentiment de vivre la vie d’un autre. Au contraire, vous devez trouver votre voie, celle dans laquelle vous allez vous épanouir durant une bonne partie de votre vie professionnelle, si ce n’est toute votre carrière. Prenez le temps de réfléchir au boulot que aimez faire et à votre projet professionnel de façon plus générale. Pour trouver sa voie, il faut prendre le temps de se renseigner et d’explorer les différentes possibilités. Vous devez vous interroger sur ce qui vous rend heureux, quelles sont les dimensions importantes pour vous dans un emploi. Voici quelques questions utiles qui vous permettront d’y voir plus clair est-ce que vous aimez être en contact avec la clientèle?est-ce que vous aimez plutôt créer ou gérer?est-ce que vous avez besoin de vous sentir autonome ou au contraire d’avoir un cadre sécurisant?est-ce que vous avez envie d’avoir des challenges ambitieux ou plutôt un travail qui ne vous demande pas trop d’efforts?est-ce que vous avez envie de manager ou d’être managé?est-ce que vous voulez régler des problèmes ou créer des solutions?est-ce que vous aimez la routine ou plutôt l’imprévu? Derrière chacune de vos réponses, vous allez pouvoir entrevoir un certain nombre de métiers à retenir ou à éliminer. Par exemple, si vous aimez le contact avec la clientèle, vous allez vous tourner sur des métiers d’accueil ou de service, comme par exemple dans l’hôtellerie ou la restauration. En revanche, si vous ne souhaitez pas avoir de contact avec des clients, vous opterez plutôt pour un emploi de bureau plus administratif. Faire un bilan de compétences Le bilan de compétences est un processus très utilisé pour remettre sur de bons rails les personnes qui se cherchent. Il permet de passer en revue toutes les compétences acquises par le travailleur depuis le début de ses études sans oublier bien entendu ses expériences professionnelles. Vous pouvez faire un bilan de compétences avec ABACUS. Il est toujours préférable de passer par des professionnels habitués à ce processus. En effet, une grande partie de la réussite va être liée à l’expérience de la personne qui va mener les entretiens. Elle doit être capable de faire émerger en vous des opportunités auxquelles vous n’auriez pas pensé. Le bilan de compétences est un exercice positif. Il en ressort toujours quelque chose d’intéressant. Vous avez forcément des expériences et des connaissances qui peuvent vous ouvrir les portes de nombreuses entreprises. Encore faut-il être en mesure de les identifier. Ce bilan est un exercice assez chronophage qui dure souvent plusieurs dizaines d’heures. On peut le financer avec le compte personnel de formation CPF. Il peut s’accompagner d’une VAE validation des acquis de l’expérience qui permet de valoriser les compétences acquises même si elles n’ont pas été officiellement reconnues au travers d’une formation diplômante. Demander conseil Les conseils de personnes plus expérimentées ayant déjà eu plusieurs expériences professionnelles sont inestimables. En échangeant avec ces personnes, vous pourrez entrevoir rapidement si tel ou tel métier est fait pour vous en fonction de leur vécu, des difficultés qu’ils ont pu éprouver mais aussi de leur épanouissement général. Donc il ne faut pas hésiter à solliciter un regard extérieur. Il pourra vous être d’une grande aide si vous ne savez vraiment pas dans quelle direction aller. La vie professionnelle est faite de tournants qu’il faut savoir gérer au mieux. Faire des stages Si vous n’êtes pas certain qu’un métier soit vraiment fait pour vous mais que vous avez quand même envie de tenter l’expérience, vous pouvez très bien faire un stage. Rien de tel qu’une immersion dans le milieu professionnel pour vous faire une idée objective sur tel ou tel job. L’intérêt du stage est que vous allez pouvoir évoluer à votre rythme et essayer différentes tâches. Cela vous donnera un bon aperçu de ce qui vous attend si vous persistez sur cette voie. Ne pas attendre que la solution tombe du ciel Souvent, quand une personne fait face à une incertitude dans sa carrière, elle prend une position attentiste en se disant que ses doutes vont disparaître avec le temps, comme par magie. Malheureusement, c’est faux. La plupart du temps, si vous ne prenez pas le problème à bras le corps, vous finirez dans une situation qui ne vous conviendra pas forcément. Choisir votre avenir, c’est éviter que le destin le fasse à votre place. Vous pensez qu’avec un peu de chance, la situation va finir par s’améliorer? Songez juste qu’avec la même chance, vous avez certainement autant voire plus de possibilités d’être heureux et épanoui en vous posant les bonnes questions et en faisant ensuite de vrais choix. Dans la vie, il faut savoir prendre des risques pour avancer. Il ne sert à rien d’adopter une attitude passive. Plutôt que je ne sais pas quoi faire plus tard, dites-vous quel métier vais-je exercer pour être heureux? Professionnellement, vous avez votre destin en main et votre succès futur ne sera que le résultat de votre volonté à avancer. Si je veux, je peux! De l’échec naît la réussite L’échec est souvent vécu à tort de façon négative. Mais comment une vie professionnelle pourrait durer des décennies sans le moindre échec. Beaucoup de personnes perdent leur emploi suite à un licenciement ou une démission. Ce n’est pas la fin du monde pour autant. Il faut trouver la force de rebondir pour transformer cette difficulté en un succès. Cela ne sert à rien de se morfondre ou de culpabiliser. Votre reconversion professionnelle pour changer de vie passe peut être par une formation ou un nouveau métier. Prenez le temps de faire un bilan de compétences, c’est toujours utile pour faire le point et avoir les idées claires. Avoir confiance en vos capacités Malgré ce que vous avez pu entendre, vous avez certainement un grand savoir-faire. La confiance en soi est indispensable pour que toute évolution professionnelle se concrétise de façon positive. Certes il faut savoir se remettre en question pour se reconvertir et trouver du travail. Mais un changement de vie ne doit pas vous entrainer dans le doute. Sortir de sa zone de confort et tout plaquer pour un nouveau départ demande un grand courage. En soi, c’est déjà une réussite. La capacité de se projeter dans une nouvelle carrière professionnelle sera d’autant plus grande que vous aurez confiance en vous. Il y a donc un travail d’introspection à faire de ce côté-là pour parvenir à changer de carrière sans se tromper. 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publié le 12 mars 2012 à 09h31, mis à jour le 26 décembre 2017 à 15h42 On sait ce qu’on quitte, on ne sait pas ce qu’on trouve ». En ces temps de crise, déclarer à son entourage vouloir quitter son travail a de quoi en déstabiliser plus d’un. Bérangère, 27 ans en sait quelque chose. Actuellement en CDI, tout le monde me conseille de rester en poste. Les gens ont du mal à comprendre que je souhaite m’orienter vers un autre métier, changer de cap et prendre des risques ». Pourtant, comme elle, de nombreux Français veulent changer d’emploi. Ils seraient jusqu’à 57% des employés des entreprises de plus de 500 salariés à exprimer un tel voeu, selon une récente étude de la TNS Sofres. C’est une tendance de fond même s’il est difficile de quantifier le nombre de personnes qui passent réellement à l’acte », confirme Yves Deloison, auteur du livre Je veux changer de job ! et animateur du site D’autant qu’entre l’envie et sa réalisation, il est nécessaire de bien préparer son projet. Bien réfléchir à son projet professionnel Certaines personnes expriment un ras-le-bol à un moment donné car ils se sentent proches du burn-out ou parce que les relations avec leur hiérarchie ne se passent pas bien. Mais quitter son travail n’est pas forcément la solution. Il est utile de comprendre d’où vient le malaise et alors d’être vraiment sûr qu’on ne souhaite plus exercer son activité », prévient Yves Deloison. Un bon moyen de ne pas rater sa reconversion. Pierre, 29 ans, a vécu une telle mésaventure. Ancien journaliste, il ne se sentait plus à l’aise dans son travail. Face à une ambiance délétère, il a voulu changer radicalement de vie. En seulement six mois, il choisit de se tourner vers le métier d’ébéniste. Je n’étais plus investi à 100% dans mon travail et je repensais à mes rêves de gosse, à mes désirs d’exercer un métier passionnel. J’ai profité d’un plan social pour suivre des formations et j’ai eu la chance de trouver assez facilement un emploi dans ce domaine . Pourtant, le coup de coeur tarde à arriver. En exerçant ce nouveau travail, je me suis rendu compte que mon métier de journaliste me manquait et que finalement, je n’y étais pas si mal. Aujourd’hui, je sais que j’aurais dû tester dans un premier temps le métier d’ébéniste et chercher à mieux comprendre ce qui ne me plaisait plus à l’époque dans celui de journaliste ». Donner du sens à son travail Toutes les reconversions ne sont heureusement pas aussi problématiques. A 34 ans, Cédric a voulu monter sa propre société. Ancien commercial, il travaillait notamment au contact de producteurs laitiers. Depuis longtemps, l’envie d’être indépendant et de monter sa propre société trottait dans sa tête. Face à l’engouement pour les produits bio et les paniers du terroir, il décide de monter sa structure, Yapluka. L’idée germait depuis déjà une bonne année. Il a fallu six mois supplémentaires pour finaliser mon entreprise ». Avant de se lancer, il contacte la Chambre de commerce et d’industrie locale afin de recueillir des conseils sur son business plan. C’est une des clés de la réussite d’un tel projet. Il est nécessaire de parler avec des personnes extérieures à son projet et de confronter son rêve à la réalité. On m’a notamment demandé comment j’allais gérer mes tournées auprès des producteurs et des clients, comment j’organiserais concrètement ma semaine de travail ». Autant de réflexions qui lui permettent de mûrir son projet et de se lancer. Il contacte alors les banques et contracte deux prêts, un de 10 000 euros et un second prêt d’honneur de 6000 euros. De son côté, il apporte 7000 euros. Cet argent était suffisant pour avoir une trésorerie sur un an et acheter le matériel utile au quotidien », explique Cédric. Sa société livre depuis quatre mois auprès des particuliers et des entreprises des produits du terroir. Mon but n’est pas d’entrer un jour au CAC 40 mais d’offrir un service et d’avoir ma propre activité », poursuit ce jeune chef d’entreprise. Monter sa société demande beaucoup d’énergie » David et Pierre, anciens cadres dans l’informatique et les télécoms, voulaient eux aussi créer leur société. Après 10 années passées chez Orange, ils quittent leur fonction pour monter le Moulin de Saint-Germain. Dorénavant, ils vendent du pain biologique à Erdeven, dans le Morbihan. Pierre a démissionné de sa société via une rupture conventionnelle tandis que David a bénéficié de l’essaimage, un dispositif permettant de quitter son entreprise pendant plusieurs années avec la possibilité de la réintégrer par la suite. L’idée de monter le Moulin a germé après diverses rencontres avec des boulangers. Notre démarche était également d’avoir une plus grande maîtrise de notre travail et de ne plus être un simple rouage de l’entreprise », explique Pierre. De la culture du blé, à la préparation de la farine, jusqu’à la fabrication du pain, ils ont tout appris du métier en se formant notamment à un brevet professionnel de responsable agricole. Un changement de vie radical. Cela demande beaucoup d’énergie. Je ne m’attendais pas à un projet si lourd, d’autant que nous avons monté notre bâtiment, qu’il a fallu apprendre le métier d’agriculteur et se former à la gestion administrative », poursuit Pierre. Tous deux bénéficient néanmoins du soutien de leurs maîtres de stages. Cette transmission des savoir-faire a été très importante », analyse le jeune boulanger. Depuis un an, ils commercialisent ainsi leur production au travers d’Associations pour le maintien d’une agriculture paysanne Amap, des magasins Biocoop, des marchés et en vente directe, deux jours par semaine au Moulin. Un choix militant lié directement à leur projet. On a changé notre mode de vie et nos habitudes de consommation », poursuit Pierre. Et question salaire, ils ont aussi accepté de le diviser par trois ». C’était un choix global de notre part », explique Pierre. Un sacrifice » partagé par de nombreuses personnes en situation de reconversion. Plus que l’argent, les personnes qui se reconvertissent veulent donner du sens à leur métier et réaliser leurs rêves. Ça ne signifie pas que ces personnes travailleront dans l’humanitaire ou dans un métier manuel mais qu’elles trouveront une plus grande satisfaction dans leur quotidien », analyse Yves Deloison. Une aspiration particulièrement forte chez les plus jeunes. Selon l’institut de sondage TNS Sofres, 84% des moins de 25 ans et 72% des moins de 35 ans veulent un jour changer de carrière. Je veux changer de job ! , Yves Deloison, Éditeur Hachette Pratique. La newsletter des recruteurs Vous êtes recruteur ? HelloWork vous aide à trouver des candidats. Découvrir nos solutions
Bonjour à toutes et à tous...J'ai eu mon bac en juillet 2013, cela fait donc plus d'un an que j'ai quitté la terminal avec le bac S en poche sans avoir jamais redoublé de ma vie.... J'ai toujours été une élève moyenne 11 de moyenne environ. Mon seul but était d'avoir le bac, je n'ai donc pas eu de bulletins très satisfaisant 14,5 de moyenne en bio mais 7 de moyenne ne maths, 8 en physique par ex. J'ai décidé de laisser tomber les matières scientifiques excépté les maths en faisant une licence d'économie mais dès les premières semaines j'ai décroché je me suis rendue compte que je détestais l'éco et j'ai vite rempli des dossiers pour postuler dans d'autres facs pour le second semestre et me réorienter en biologie. Problème les étudiants de médecine étant prioritaire, je n'ai été acceptée dans une aucune fac de bio. Je n'ai donc été acceptée qu'en histoire dans la même fac oui, je m'étais dit que l'histoire était déjà plus intéressant que l'économie mais encore une fois je n'ai pas aimé ce cursus ce qui fait au total une année de perdue.. Je me suis inscrite sur APB en janvier 2014 et j'ai postulé plusieurs vœux en dut génie biologique, bts bioagroalimentaire etc mais je n'ai été prise nul part, pas même à la fac de Créteil en biologie et là j'ai directement pleuré en me disant que je finirai sans avenir lol. J'ai ensuite déposé un dossier à l'INALCO pour faire une licence d'arabe et j'ai été acceptée. Le truc c'est que j'ai fait une ENORME bêtise, je me suis inscrite en biologie à paris 6 AVEC LE CNED à côté! Ne jamais jamais jamais s'inscrire au CNED quand on n'est pas autonome, de base une licence de biologie n'est pas facile, mais alors quand c'est via un enseignement à distance n'en parlons pas... Le seul support ? Les fascicules... Personne n'est là pour nous encadrer, il faut vraiment être autonome et avoir des facilités pour espérer réussir... J'ai donc décidé de lacher la bio et je suis actuellement en L0 d'arabe année d'initiation à l'inalco. J'ai vraiment l'impression de régresser depuis que j'ai le bac, ça me déprime vraiment, j'aurai 20 ans en mars prochain et j'ai peur d'être toujours au même stade l'année prochaine... Quand je me compare aux autres mes copines du lycée etc je vois que tout le monde avance et moi je regresse... C'est vraiment douloureux je ne sais pas comment y faire face... J'aimerais m'inscrire en BTS mais j'ai peur de ne pas être prise encore une fois. Je ne sais pas quoi faire, j'ai peur de finir sans étude...
Vous n'arrivez pas à choisir une formation particulière parce que vous ne voulez pas prendre le risque de renoncer à toutes les autres ! Sélectionner une voie, c'est accepter de limiter ses désirs, et de fermer des possibles. Voilà qui vous semble difficile. Inutile de vous torturer les méninges à trouver le job qui vous correspond et qui ne vous apportera que des satisfactions. Il n'existe pas de métier idéal. Quelque soit votre profession, il y a aura des avantages et des inconvénients et vous ne serez jamais sûre à 100 % de ne pas vous être trompée. Et alors ? Où est le problème ? Puisque vous n'avez pas trouvé votre vocation », sachez voguer sur vos incertitudes. Multipliez les expériences, frottez-vous aux différentes réalités professionnelles, testez plusieurs milieux, comparez les ambiances, et voyez dans quel univers vous vous sentez le mieux.
Perdu dans sa vie, perdu dans sa tête. Quand on est paumé et que rien ne semble avoir de sens pour soi, qu’on aimerait bien savoir lire en soi et ne plus avoir peur de l’avenir… Parce que oui ! comment on fait pour savoir si l’on est sur le bon chemin ? Mode d’emploi d’une technique très simple que j’utilise dès que je doute de quelque chose. crédit photo mdefays Connaissez-vous cet ancien jeu que l’on nommait cache tampon lorsque j’étais gamine, le connaissez-vous ? Son principe était simple, une personne cachait un objet dans un endroit précis connu d’elle seule, et les joueurs devaient retrouver cet objet en allant d’un point à un autre de la pièce par exemple et pendant que les joueurs déambulaient ainsi dans la pièce, la personne qui avait caché l’objet leur donnait des indications du genre “tu gèles” ou “là tu te réchauffes” ou encore “tu brûles !” selon s’ils s’approchaient de l’objet ou s’en éloignaient. Alors ici vous n’allez pas jouer à cache tampon pour trouver les réponses à vos questions et pourtant sur le principe, il y a de ça, vous allez tâtonner en posant des questions de plus en plus pointues pour trouver vos réponses. Oui mais plus je me pose de question et plus je me perds Agir. Il n’y a qu’une seule chose à faire, c’est agir. Plus on se sent paumé plus cela veut dire qu’il est temps de se prendre en main, qu’il faut y aller, qu’il faut foncer. Parfois je me sens mal et je me traîne d’un point à un autre sans goût à rien, telle une âme en peine. Cette sensation de tourner en rond comme un lion dans une cage, ou avec cette image du chien qui se mord la queue et tourne sur lui-même à la limite de la folie. C’est du même genre. Et quand ça me prend, je sais alors ce qu’il me reste à faire, mais il m’a fallu des années avant de le comprendre… Je me dois alors de donner quelque chose de moi. Je me dois de créer quelque chose. Je me dois de donner naissance à quelque chose. Je me dois de partager quelque chose qui vient du plus profond de moi et pas du voisin ! Sans cela, je continue à me sentir mal, à tourner en rond, à me sentir perdu dans ma vie. Je me dois de participer au chant de l’existence, au mouvement de la vie en apportant ma contribution, ma part de créativité, cette part qui fait que je suis unique et que si je ne le fais pas, eh bien je me sens mal parce que cela équivaut tout simplement à me nier, à me renier à la face du monde en refusant d’être, en me refusant d’exister pleinement. Je me dois de vivre pleinement parce que sinon, oui, c’est me nier. C’est attendre que les choses viennent des autres -d’ailleurs dans ces moments là je cherche systématiquement mes réponses ailleurs -, que mes réponses me soient données par le monde extérieur, par autrui. Or il est essentiel que je me prenne en charge ! car sinon c’est l’assistanat permanent pour tout et à tout propos. C’est donc encore et toujours une façon de me nier, cette attente de réponses venant des autres, ce pseudo réconfort qui n’est qu’une couche supplémentaire de mal être qui s’accumule parce que je continue à m’étouffer tout seule comme une grande, dans mon coin… Utiliser le pendule ou les cartes c’est une façon de casser l’endormissement, l’engourdissement dans lequel on est plus ou moins bloqué. C’est un outil pour contrer la prostration, la négation de soi. C’est le préambule au passage à l’acte. C’est la cérémonie qui met en mouvement notre préparation mentale, notre acceptation d’une idée, d’une possibilité. C’est l’élément déclencheur, le feu vert d’une action qui sans cela ne verrait peut-être pas le jour tellement nous remettons à demain toute action de notre part. Peu importe ce qui nous freine ! Le sujet n’est pas là. Il s’agit juste de s’y mettre, encore une fois, il s’agit d’agir. Et si je découvre que ce que m’a dit le pendule ne se vérifie pas ? Et si je m’aperçois que le pendule m’a dit des bêtises, que ce qu’il me raconte n’est pas fiable, comment je fais !? Je continue à avancer, à agir, à bouger. Parce que cette image qui ressort souvent dans le développement personnel, cette image de l’enfant qui apprend à marcher et qui tombe à maintes reprises jusqu’à enfin pouvoir tenir debout et faire un pas l’un devant l’autre sans chuter il ne se dit pas que marcher n’est pas fait pour lui, il fait ce qu’il faut pour marcher, il s’entraîne inlassablement, c’est exactement la même chose avec ce sentiment d’être perdu dans sa vie. Il faut juste se mettre en mouvement, tester certaines réponses pendule et cartes, ou autre, bref, poursuivre son entraînement de la vie, inlassablement. De l’utilité d’être perdu dans sa vie La vie, l’existence à cela d’enrichissant que nous ne savons jamais tout ce qu’elle a à nous offrir. Elle cache à nos yeux bien des choses et nous devons nous transformer en joueurs pour découvrir ses cadeaux. Bon, vous allez me dire qu’il y a parfois de bonnes surprises et d’autres fois des événements dont nous nous passerions bien à l’instant où ils nous tombent dessus, c’est vrai, encore qu’il s’agit juste de notre façon de les percevoir qui est souvent à revoir… Ainsi ce qui peut sembler une mauvaise nouvelle perte d’emploi, décès d’un proche, perte de votre logement, etc. est en fait un super tremplin pour vous faire passer à autre chose, une chose dont vous rêvez depuis des lustres alors que vous n’osez pas franchir le pas situation professionnelle, sentimentale, lieu de vie, etc.. Le fait de se sentir perdu dans sa vie signifie au moins une chose importante, c’est que vous avez des décisions à prendre ! C’est que le moment est venu pour faire des choix. Sans doute êtes-vous à ce que j’aime appeler la croisée des chemins. Une période faste en remises en questions et en prises de décisions essentielles pour vous, pour votre réalisation personnelle, pour votre vie, votre nouvelle vie ! Car oui, à l’image des chats qui dit-on, ont sept vies, nous aussi nous avons plusieurs vies en une seule. Nous aussi nous pouvons expérimenter à loisir tout un tas de vies différentes au cours de notre existence. Le nier, s’y refuser serait juste se verrouiller soi-même à la richesse infinie que nous offre le fait d’être né, que nous offre le fait d’être vivant, que nous offre la vie. Donc à chaque fois que vous vous sentez paumé dans votre vie, dites-vous bien que c’est le signal pour faire avancer les choses d’une manière différente de celle qui vous était coutumière. C’est parfois le moment du Grand chambardement ! Le pendule, l’outil de base du perdu dans sa vie Je parle du pendule mais c’est la même chose avec les cartes. Les personnes qui tirent les cartes, qui utilisent le pendule ou qui en général se penchent sur ce type de pratiques sont souvent de grands anxieux qui cherchent par tous les moyens des réponses à leurs questions ! Et qui en font aussi le commerce et ce depuis des siècles et des siècles pour aider ou perdre un peu plus selon la qualité des informations rendues et de la qualité de la réception de celles-ci la personne en demande. Ce qu’il y a de bien c’est que le pendule est accessible à tous, il suffit juste de décider de tenter l’expérience, de s’y remettre à plusieurs fois si nécessaire. Car oui, le pendule a aussi ses jours avec et ses jours sans, donc il y a des moments où il refuse carrément de répondre à nos questions. A titre purement indicatif, j’ai acheté le mien il y a des années sur le site de Terra Nostra. Vous êtes prêt pour l’aventure ? alors en avant pour le mode d’emploi du pendule, avec des questions/réponses que je pose et donne devant vous, dans la vidéo ci-dessous. Donc vous l’avez compris, cette technique est accessible à tous quand on est perdu dans sa vie. C’est un moyen simple de trouver toutes ses réponses au lieu de se mettre la tête à l’envers et de se faire des nœuds dans l’estomac ça colle le bourdon, ça met de mauvaise humeur et c’est mauvais pour la santé. Au final je vous encourage vivement à tâter du pendule, à tester si vous ne l’avez jamais fait, car ainsi vous pourrez reprendre aussi plus facilement confiance en vous et en la vie, parce que vous aurez osé, vous aurez avancé tel cet enfant qui apprend à marcher. Allez hop ! c’est parti… Odile Pour en savoir plus Comment trouver des réponses à ses questions Vous pouvez consulter ici la playlist de tous mes tirages, sur ma chaine youtube. Prendre la vie comme un jeu, cap ou pas cap ? Prendre les bonnes décisions dans la vie Ce que votre âme vous hurle et que vous ne voulez pas entendre Créer son meilleur futur dès maintenant, avec les tirages d’Odile
je suis perdue dans ma vie professionnelle